Voici un lien vers un article que je trouve assez intéressant et qui concerne le nettoyage du capteur.
Amitiés

http://www.naturepixel.com/nettoyage_capteur_dslr_1.htm

merci Diou,

Articles

amitiés

bonjour,

il y a pas mal de tutos sur les calques sous Photoshop CS3, mais aucun ne parle du
comment procéder pour enregistrer le résultat final !

faut il les fusionner; les dupliquer; les lier; sélectionner les calques liés ...

cela peut paraître con comme question, c'est quand même mon pronblème.

d'avance je te dis Merci

amitiés

merci de ton coup de fil, ça devrait marcher à l'avenir.

Ceci dit, si Gy ou Didi ont la bonne idée de faire un petit tuto pour les nuls ...

amitiés

Merci Gy, cela sera utile pour les nuls suivants .

tu n'en vois point à l'horizon, c'est que vois tu des collines nous
séparent et donc empèchent notre vue d'y accéder , ce n'est qu'un point de vue.

bisous

Cristan a écrit:

merci de ton coup de fil, ça devrait marcher à l'avenir.

Ceci dit, si Gy ou Didi ont la bonne idée de faire un petit tuto pour les nuls ...

amitiés

...je ne vois pas ce qu'il y a de difficile pour finaliser une retouche en générale.
Cela dépends simplement du résultat que tu veux obtenir.
Normalement lorsque tu as terminé des retouches sur un cliché, et que tu veux finaliser celui-ci, lorsque tu veux l'enregistrer, il te propose d'office de le sauver en PSD qui est intéressant si l'on veut maintenir tous les calques visibles dans le cas où l'on voudrait y revenir pour y faire une correction par la suite.

L'autre solution, c'est de faire en plus du PSD, une sauvegarde en lui demandant de la convertir en JPG, mais dans ce cas les calques sont automatiquement fusionnés...

Alors si DAN ne t'a déjà pas répondu ou que tu as une autre question, ou que je ne t'aurais pas répondu à ce que tu cherche...
Je suis toujours là, malgré que l'on ne vois plus beaucoup pour le moment sur le forum.

Mes amitiés,
Claude.

ok Didi ma petite tête a bien compris tout ça.

seulement je n'ai trouvé sur le Web aucun tuto qui parle de finaliser son travail en
fusionnant les calques = ce qui revient au même que "applatir l'image" (il me semble).

Dès lors pour un débutant ou pour un NUL en la matière il n'est pas aisé de le sucer
de son pouce, dès fois par essais divers comme été ça vous tombe dessus comme
un pruneau sur le crâne, des fois non.

Et des fois dans le stress de vains et multiples essais on perd une belle image
perdue à tout jamais .

Merci à tous de vos interventions

amitiés

merci Dan, tu as tout compris
la FUSION d'accord - la con-fusion NON PAS !
@ +

Cristan a écrit:

ok Didi ma petite tête a bien compris tout ça.

...qui a dit que tu avais une petite tête...

Cristan a écrit:

seulement je n'ai trouvé sur le Web aucun tuto qui parle de finaliser son travail en fusionnant les calques = ce qui revient au même que "applatir l'image" (il me semble).

... je vais voir ce que je peux faire, mais déjà la différence entre fusionner et aplatir, une fois que tu fusionnes plusieurs calques, tu peux toujours ensuite venir travailler dessus librement, tandis qu'avec aplatir le calque est automatiquement verrouillé, et si tu veux encore y faire une retouche, tu es obligé de venir cliquer dessus 2X pour le déverrouiller et en créer un calque 0.

Cristan a écrit:

Dès lors pour un débutant ou pour un NUL en la matière il n'est pas aisé de le sucer de son pouce, dès fois par essais divers comme été ça vous tombe dessus comme un pruneau sur le crâne, des fois non.

... tu ne devrais pas te sous-estimer de cette manière.

Cristan a écrit:

Et des fois dans le stress de vains et multiples essais on perd une belle image perdue à tout jamais .

... ici cela n'a rien à voir avec la fusion, c'est juste une question d'organisation de travail, c'est-à-dire de ne jamais travailler sur le fichier sortant du moule, mais bien sur une copie, en travaillant dans un espace réservé au recherches et retouches.
Autrement dit tu prévois deux archivages, un pour les clichés originaux (sortant du moule) et l'autre pour les vues retouchées, plus ton espace de travail...

Je suis certainement revenu sur des éléments de base que tu connais, mais ceci à titre de rappel pour les débutants dont tu ne fais plus partie... :geek:

PS: DAN, tu as aussi oublié: 5) Créer un groupe (de calques)

Cristan,

... avant d'entreprendre quoique se soit, je viens de faire un tour dans l'aide du CS3 puisque c'est toujours la version que tu utilises.

Je ne sais si tu es déjà allé faire un tour de ce côté là, mais tu peux franchement y aller.
Car par expérience, et j'en suis le premier, on ne vas pas souvent lire les aides en question, pourquoi???
Enfin, j'y ai découvert déjà assez de chose, il te suffit de lancer la recherche sur [Calques], et tu verras la quantité d'informations que tu vas déjà pouvoir trouver.
Je te conseil de cliquer sur la flèche dans le coin supérieur droit pour suivre dans l'ordre les différents chapitres concernant les calques...

Bonne lecture.
Si tu as des questions, donne moi exactement le titre de la page sur le sujet que tu hésites, ainsi que la question sur le soucis, je me ferai un plaisir de te répondre suivant mes possibilités bien sûr.

Claude

mille merci Didi
portes toi bien
amitiés

image scannée par " Medion 2400 dpi " (entrée de gamme)

original : photo N & B sur papier barité

les centaines de points blancs proviennent du scannage, poussières adhérentes
sur la vitre côté intérieur.

Je crois que la solution la meilleure serait d'applatir l'appareil à la masse puis de le
jeter à la déchetterie.
Si quelqu'un à une meilleur idée ...



amitiés

Voici un lien fort intéressant sur la réalité des images que l'on produit avec nos APN et même auparavant avec nos argentiques
http://www.lemonde.fr/culture/article/2010/08/28/photoshop-seme-la-zizanie-dans-la-photo-de-presse_1403881_3246.html

si jamais l'article disparaissait le voici :

Un nouveau cas de "fauxtographie" a frappé, en mars, le World Press, la plus prestigieuse distinction du photojournalisme au monde : Stepan Rudik, un lauréat dans la catégorie sport, était disqualifié pour avoir effacé, grâce au logiciel Photoshop, un pied dans l'arrière-plan d'une de ses photos. Retouche mineure. "Au World Press, les règles de la profession concernant Photoshop s'appliquent, répond Ayperi Ecer, présidente du jury. On ne peut pas enlever un objet de l'image, quel qu'il soit."
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Cette affaire a animé les discussions sur Internet. D'autant que Stepan Rudik ne s'est pas contenté de gommer un détail disgracieux. Il a recadré la photo pour en faire un gros plan, a transformé le document couleur en noir et blanc, a ajouté du grain pour imiter un film argentique. Pour ces retouches-là, autrement plus criantes, il n'a pas été sanctionné.

Le cas Rudik illustre bien les problèmes auxquels est confronté le photojournalisme depuis l'apparition des logiciels de retouche d'images qui sont accessibles à tous, via l'ordinateur : quelques clics et vous modifiez le contraste, la lumière, les couleurs. Et s'il est aisé de déceler un objet ajouté ou retranché, il est bien plus compliqué de cerner, dans le cas d'un ciel bleu fluo, d'une lumière théâtrale, où commence la manipulation.

Or chez les photoreporters, les images aux couleurs éclatantes sont devenues légion. "Il y a une nouvelle génération qui fabrique les photos qu'elle aimerait voir au lieu de rapporter la réalité, confirme Ayperi Ecer. Sur les 100 000 photos examinées au World Press, environ 20 % sont exclues d'office car elles sont trop photoshoppées."

Ce débat sera abordé au festival Visa pour l'image, à Perpignan, qui s'ouvre samedi 28 août. Son directeur, Jean-François Leroy, est vent debout contre ce qu'il appelle l'"overphotoshopping " - l'abus de Photoshop. "Les photographes travaillent pour l'écran, en inventant des couleurs que les imprimantes sont incapables de reproduire sur du papier ! Quand les photos sont plus colorées que les publicités, on peut se poser des questions ! On est très loin de la réalité."

A partir de 2011, M. Leroy demandera aux photographes, avant de les exposer, leurs fichiers informatiques bruts et originaux, afin de les comparer avec les tirages. Une disposition déjà en vigueur dans certaines compétitions : en 2009, le photographe Klavs Bo Christensen a été exclu du concours de la Photo de l'année, au Danemark, pour avoir saturé les couleurs et contrastes d'images qu'il a prises à Haïti.

Le photographe Philip Blenkinsop, de l'agence Noor, est furieux quand il voit les couleurs splendides dans les magazines. "Ceux qui sont allés dans un camp de réfugiés savent que tout y est terne, délavé par le soleil. Il n'y a pas de couleur fluo. Quand la photo en montre, c'est un mensonge. C'est une insulte pour les réfugiés ! C'est comme si on leur disait que leur vie misérable n'est pas assez intéressante." Ce photographe, qui utilise l'argentique, ne s'autorise que des retouches mineures. "Une teinte vive est une excuse pour une photo qui n'est pas assez forte en soi. Résultat, toutes les photos se ressemblent : colorées, ennuyeuses."

Comment la retouche a-t-elle pu s'imposer à ce point dans le photojournalisme ? "Cela a commencé il y a dix ans, explique Ayperi Ecer, surtout chez les photographes scandinaves. Une nouvelle génération est influencée par la peinture, le cinéma." Ces photographes sont souvent bien accueillis par des journaux en quête de photos efficaces. Ajoutons une tendance. Des magazines réputés, comme Süddeutsche Zeitung Magazin, en Allemagne, lassés des images de presse répétitives, font de plus en plus souvent appel à des "artistes du documentaire" sur des sujets d'actualité. Dans le même sens, nombre de photoreporters font des incursions dans le monde de l'art, dont les critères sont souples en matière de retouche.

Le photographe Guillaume Herbaut s'inquiète de la nonchalance des jeunes. "J'ai eu en stage des étudiants d'école de photographie qui savent utiliser à la perfection Photoshop : pour redresser les perspectives, enlever des éléments. Ils ne font pas la différence entre la photo plasticienne et la photo documentaire ou le journalisme."

Le paysage est si brouillé qu'il devient impossible de fixer la frontière entre la créativité du reporter et la manipulation de l'artiste. D'autant qu'une bonne part des acteurs du photojournalisme reconnaît que la retouche, en soi, n'est pas dommageable. Bien avant l'apparition du numérique, les reporters travaillaient leurs images dans la chambre noire pour corriger les défauts - éclairer les zones sous-exposées - ou leur donner du relief. Et puis la retouche fait partie du style d'un auteur : des photographes respectés, comme Jan Grarup ou Paolo Pellegrin, ont fait du travail de postproduction un élément essentiel de leur démarche.

De nombreuses voix rappellent que toute prise de vue, en soi, est une représentation, et non un morceau de réel. Beaucoup de facteurs a priori techniques jouent leur rôle : le noir et blanc n'existe pas dans la réalité. Le flou, le flash, le contre-jour, ne sont pas plus "réalistes".

Le photographe Francesco Zizola, qui a monté une galerie adossée à un laboratoire, en Italie, est souvent accusé d'abuser de Photo-shop. Il va plus loin. "Les nouvelles technologies permettent une plus grande représentation de la réalité des couleurs. Si les couleurs ne nous apparaissent pas naturelles, c'est que nous sommes habitués à celles que nous voyons dans la presse ou ailleurs, depuis l'invention du Kodachrome en 1935. Mais les couleurs n'ont jamais correspondu à la réalité. L'objectivité de l'image photographique est un mythe."

Pour autant, Zizola trouve qu'il est encore possible de croire au témoignage du photojournaliste, qui s'engage auprès de son lecteur à ne pas altérer la réalité : "Il n'y a pas de mise en scène, pas le moindre ajout, suppression ou déplacement de pixels."Et il ne s'autorise aucune modification de la teinture.

En attendant, le débat sur Photoshop favorise la suspicion. Le photographe Kadir Van Lohuizen en témoigne : "Récemment, on m'a demandé comment j'avais obtenu une lumière qui venait par-derrière ; c'était une voiture qui avait allumé ses phares. Mais je passe plus de temps à justifier mes images qu'à parler du fond."

Je retiens cette phrase

Le paysage est si brouillé qu'il devient impossible de fixer la frontière entre la créativité du reporter et la manipulation de l'artiste.

mais demande t on à un photographe reporter d' être ARTISTE et CRÉATIF...moi je lui demande d' être INFORMATIF?

La photo , comme le diapo est un OUTIL qui sert à diverses professions , fonctions et missions....
Ne vas t on pas vers une confusion des outils avec leurs produits?

Nuage a écrit:

La photo , comme le diapo est un OUTIL qui sert à diverses professions , fonctions et missions....
Ne vas t on pas vers une confusion des outils avec leurs produits?

... entièrement d'accord avec toi Nuage, il suffit d'adapter l'outil suivant le résultat demandé. Et comme on le signale très bien dans l'article, même avec l'argentique, la retouche était pratiquée et je l'utilisais souvent pour modifier ou tout simplement améliorer mes créations, pour des expositions et tout simplement pour l'art de la photographie...

il suffit d'adapter l'outil suivant le résultat demandé écrit Didi

Je le pense aussi ....et quelle bagarre j' ai eu avec les diaporamistes photographes( les vieux du début du diaporama ...lol) pour leur faire admettre que le diaporama n' est pas que de la belle photo avec une belle musique et de beaux effets ...Que le diaporama est PLUS que cela et s' adresse à beaucoup de professions.
idem pour la photo.....

Merci Gy pour cet émminent article.
Ces gens sont payés pour dire "n'importe quoi" .
Faut pas s'étonner si un de ces quatre, on entend un photographe ou un artiste
peintre sanctionné parcequ'il a fûmé un pétard, avalé un calva ou un ricard .
Bon, sur ce moi je m'en sers un
à votre bonne santé
amitiés
excellente fin de WE

De toute façon quoi qu'on fasse, que ce soit pour l'argentique ou pour le numérique, aucune des photos réalisées par ces appareils n'est le reflet précis de la réalité.
En argentique on choisissait son film en fonction du résultat que l'on voulait obtenir, image avec couleur froide, image chaude - (Kodachrome, ektachrome etc...) quel support pouvait-il y avoir à notre disposition qui pouvait donner la représentation de la vérité.
Nos APN actuels, qui disent "papa/maman" et dont le logiciel interne traite l'image reçue, est-il ce que l'oeil a vu ??
Les déformations des objectifs, qui n'obtiendront jamais la précision de nos yeux, et qui selon la focale déforme plus ou moins,est-ce encore ce que notre vue a enregistrée.
De deux choses : ou bien c'est de la photo informative et on se tamponne cordialement de la qualité artistique de celle-ci..
Ou bien on décide qu'elle doit être artistique, auquel cas chacun a son interprétation propre, A t-on déjà vue notre vision faire un net sur un détail de premier plan et un flou sur le second ? En tous cas mes yeux n'ont pas de réglage de profondeur de champ et je n'ai aucune possibilité de jouer sur l'ouverture, quant à l'autofocus il est indébrayable, de plus c'est mon cerveau qui détient le traitement de l'image final, je ne vous dis pas le résultat . Je pense aussi que ce traitement est différent et propre à chacun de nous... conclusion... ou est la vérité ?????
Et comme signalé dans cet article le N&B est-il la réalité ???
Quand je lis que certains ne veulent pas retoucher leur image afin de ne pas déformer la réalité, je me marre, car pourquoi commencent-ils par peaufiner déjà les réglages de leurs appareils pour obtenir en fin de compte ce qu'ils désirent, j'aurais une fâcheuse tendance à penser qu'ils ont déjà bidouillé pour que la photo soit comme ils la veulent et de simplement minimiser le post traitement, et ça je peux le comprendre.

Je reprends l'exemple du pied cité dans l'article :
Si c'était un croche patte, là fallait pas l'effacer, important pour l'information, pour montrer voire dénoncer !
Pour une présentation d'un sport faut tout de même enlever les "grosses poussières"

Même dans une photo reportage l'image ne nous donne qu'une partie de l'évènement ...
Pas facile et nous voilà face à un débat qui fait ............. débat