Voyage

animateur

Voici le récit de mon plus beau voyage:

Mon plus beau Voyage

Samedi 9 mai 1987

Il est cinq heure trente et je n’arrive pas à me rendormir, pourtant je le devrai au vu de ce qui m’attend. Alors je me lève, prends un bon petit déjeuner, une douche et m’habille.
Je revérifie mon sac de voyage sachant qu’il ne manque rien, ma femme y a pourvu.
Elle est parti la veille, pour le WE, dans un village de vacance en Sologne, avec sa fille. Je fais aussi l’inventaire de mon autre sac, presque le plus important, là aussi tout y est, donc je suis prêt pour ce grand voyage.

Sept heure je suis à la recherche d’un taxi, pas évident si tôt. Il me faut aller jusqu’à une porte de Paris pour enfin en trouver un.
- Orly s’il vous plaît.

Maintenant que je suis en route je repense au pourquoi de ce voyage:
Je suis commercial dans un société américaine dont la culture est la carotte.
Au début de l’année précédente un deal nous a été posé: faire 20% de plus que son chiffre de l’année et nous gagnons un voyage.
Pour nous mettre en haleine on ne nous a pas dit pour quelle destination et cela pourrai très bien être en Corèze.
Durant ces douze mois ce ne fut que de longues journées et du stress pour parvenir
au but.
Arrivé au mois de décembre, usé, je ne crois pas avoir réussi.
Je suis quand même satisfait car ce deal a fait grimpé mon salaire et au moins j’aurai gagné çà.

Début janvier réunion de l’ensemble de la société pour faire le point sur l’année passée et les objectifs de la nouvelle, toujours plus élevés.
Le grand directeur annonce les résultats du deal.

Oh! Joie, moi qui pensais être dans les choux je suis élu. Je vais faire ce voyage et quel voyage: safari au Kenya. Moi qui suis photographe ce voyage n’était qu’un rêve irréalisable.

Neuf heure arrivée à Orly sud où je ne suis pas le premier de la soixantaine de commerciaux élus sur toutes la France.
Notre accompagnateur se présente à dix heure quinze: distributions des billets d’embarquement et des passeports, enregistrement des bagages, passage de douane et à onze heure nous attendons d’embarquer pour un décollage prévu à douze.
Je pensais que ce serai sur Air France, mais ce fut Air Kénya: j’étais déjà là-bas.

Huit heures de vol sans histoire à par Crocodile Dundee en VO sans sous titre et menu pas terrible.
Dix huit heure quarante cinq heure française et dix neuf heure quarante cinq heure locale atterrissage à Nairobi, passage de la douane, devises et tout y quanti, puis autocar pour rejoindre l’hôtel Méridian pas très accueillant et j’espère que les prochains serons plus sympa.
Surprise: pas de dîner prévu. Qu’a cela ne tienne je prend une bière avec quelques collègues et à vingt deux heure trente je me glisse dans les draps.

Dimanche 9 mai 1987

J’ai très peu dormi: entre la pensée à ce qui nous attend les prochains jours et les bruits de la ville c’est normal me suis je dis. Aussi à six heure trente je suis à la fenêtre de la chambre regardant la ville s’éveiller sous la pluie.
Après le petit déjeuner à l’anglaise on nous a fait monter dans des mini bus pouvant contenir neuf personnes, je suis resté en retrait pendant que tous s’installaient et comme nous n’étions pas un multiple de neuf je me suis retrouvé avec quatre copains de la même agence de Paris dans un bus, cinq au lieu de neuf c’était quand même mieux. De plus nous l’avons conservé toute la semaine.
Nous avons pris la route pour Amboseli. Quatre heures de route dont deux sur piste pas très carrossable, mon dos s’en est ressenti.
Pas vu d’animaux jusqu’au Serena Lodge, lequel par contre fait oublier les fatigues du voyage et nous met dans l’ambiance de ce pays.
On me loge dans une hutte où je serai seul. Faut dire que je suis le plus âgé de tous.
Déjeuner sous forme de buffet où j’ai pu me faire un menu convenable.

Quinze heure nous voilà enfin parti pour voir les animaux, le safari commence.
Et là tout est oublié: la fatigue, la bouffe, le mal de dos et la poussière.
Magnifique!! Les éléphants, les buffles, les girafes, les gnous et autres singes
ainsi que les paysages tout est à coupé le souffle.
Le roman de Joseph Kessel nous l‘a fait découvrir dans «Le Lion»
Mais la réalité dépasse en image ce que avions imaginé par le texte
Mon appareil photo a chauffé : trente six photos engrangées
Retour au lodge au couché du soleil vers dix huit heure.
Le Kilimandjaro ne c’était pas montré de toute l’après midi, mais pendant notre retour miracle et de plus avec une belle girafe en avant plan: le bonheur du photographe.

Après m’être rafraîchi dans ma hutte je suis retourné avec mes compagnons de voyage et avons partagé nos impressions en buvant un verre.
Le dîner nous est servi à table et très acceptable.
Avec deux de mes compagnons de bus nous sommes allé en haut d’un mirador.
Au pieds duquel des hyènes viennent manger les reste que leur donnent les gens du lodge. Pas beaucoup de lumière pour une photo mais je fais avec.
Après cette première journée de découverte je vais me coucher en espérant mieux dormir mais aussi avec des images plein la tête.

Lundi 11 mai 1987

Six heure. Je me lève et me précipite à la fenêtre pour voir le soleil se lever sur le Kilimandjaro: fantastique. Malgré les quelques nuages qui bientôt le cacheront
je peux voir son sommet avec ses neiges éternelles. C’est une image qui me restera longtemps car encore aujourd’hui elle est présente.
Bien sure j’ai mitraillé une dizaine de clichés en espérant qu’ils seront bons.
Après une bonne douche dont j’ai bien besoin car il fait déjà bien chaud, je range mes affaires dans mon sac pour le prochain lodge et je vais au restaurent pour le petit déjeuner à l’anglaise: œufs brouillés, saucisses grillées, petit pains chaud et café à volonté. Avec çà dans le ventre nous pouvons tenir jusqu’au midi.
Huit heure trente départ sur les pistes d’Amboseli.
Dans ce parc les éléphants sont rois, c’est là que nous en aurons vu le plus.
Quelle beauté de voir vivre tous ces animaux en grande liberté. Girafes, gazelles, antilopes, gnous et phacochères s’offrent à mes yeux émerveillés.
C’est tout autres choses que de les voir dans les zoos où ils paraissent triste, la tête basse, résignés. Ici ils sont fières, le port altier et libre de toutes contraintes.
Et puis il y a ces grandes étendues de savane jusqu’à l’horizon, ces espaces de liberté
qui m’attirent, me donne envie de les parcourir à l’infini.

Retour vers midi au lodge pour le déjeuner toujours servi en buffet.
A quatorze heure nous partons pour le parc de Tsavo Ouest.
Arrêt sur un champ de lave de dix kilomètres de long sur un de large: impressionnant. Deuxième arrêts à la source qui alimente en eau la ville de Monbasa: hippopotames et crocodiles sont à la noce. J’espère que l’eau est bien filtrée car on sait ce qu’y font les hippopotames. Puis nous avons fait un détour dans la Rift Valley où là aussi les paysages sont à coupé le souffle.
Pendant ce périple nous avons pu admiré des autruches, des antilopes girafe et quelque singes.
Nous arrivons vers dix neuf heure au Lodge Ngulia Safari.
Après notre installation dans nos chambre et le dîner, avec toujours les mêmes copains de bus, nous nous postons sur un balcon pour attendre qu’un léopard vienne manger la viande posée sur une pierre tout exprès pour les touristes que nous sommes. En fait c’est une hyène qui est apparue, alors on lui fait peur et elle s’enfuie.
Un peu plus tard nous entendons un feulement pas très loin, alors on espère, mais à minuit toujours rien alors nous allons nous coucher.

  Mardi 12 mai 1987

Ce matin réveil à six quinze pour un safari au levé du soleil.
Un café vite avalé et c’est parti pour deux heures de piste à la recherche des animaux.
Exceptionnellement nous n’avons rien vu; pas d’éléphant, pas de girafe, juste quelques gazelles et antilopes ainsi que des rapaces tournoyant haut dans le ciel.
Nous revenons au lodge pour un petit déjeuner un peu plus copieux et repartons sur les pistes jusqu’à l’heure du déjeuner. Mais dans cette deuxième virée pas plus d’animaux: bizarre?
Il faut dire que le mois de mai n’est pas la meilleurs saison dans cet émisphère, il est préférable d’y venir en novembre ou décembre où c’est le plein été.
Nous rentrons donc bredouille, mais malgré tout avons vu de magnifique paysages
et j’ai engrangé pas mal de photos qui me serviront de souvenir.
Après une nouvelle douche, je vais au restaurent pour le déjeuner.
Vers quatorze heure nous repartons pour notre troisième et dernier lodge à Tsavo Est.
Sur le parcours nous avons pu enfin admirer quelques éléphants et antilopes, des gnous qui sont omniprésent partout et nous font dire que le garde manger des prédateurs est bien rempli. Nous croisons aussi un troupeau de buffles pataugeant dans une marre et il y en a tellement que sur plusieurs centaines de mètres carré le sol est noir.
Comme celui d’hier le lodge est confortable et les employés très stylés à l’anglaise.
Il est bâti sur une hauteur ce qui nous permet de voir loin.
Avant le dîner je m’installe sur le balcon dominant la savane en prenant un verre avec des copains.
Cela faisait moins d’une heure que nous étions à regarder ce paysage qu’un groupe d’éléphants est apparu et est venu boire juste en dessous de notre balcon.
Plus loin un autre groupe attendait et quand le premier est reparti, l’autre c’est approché pour se désaltérer aussi. Nous avons pensé qu’il n’y avait pas de mixage de famille chez ces animaux.
Plus tard ce fut des buffles qui ont pris la place des éléphants et un serveur nous a dit qu’il y avait un tunnel qui permettait de les voir de bien plus près.
Nous y sommes allé et en effet nous étions si près que nous aurions pu leur caresser le museau. Bien qu’il fasse très sombre j’ai tenté un cliché. Nous les observons se débattre dans la boue pendant plusieurs minutes puis retournons sur la terrasse pour attendre d’autres éventuels évènements. Comme l’autre soir nous avons entendu des feulements au loin mais rien d’autre. Vers onze heure nous allons nous coucher.

  Mercredi 13 mai 1987

A six heure je suis réveillé; le soleil lui ne l’est pas encore, mais l’horizon rougeoie dans l’attente de son apparition.
Avant la douche je vais faire quelques brasses dans la piscine, il faut bien se dérouiller après tous ces trajets en bus qui n’ont pas été toujours de tout confort.
De là j’ai une vue superbe sur la savane se réveillant.
Je retourne dans ma chambre avec quelques soucis d’intestins; deux, trois gélules qui j’espère ferons leur office. Après le petit déjeuner je prends quand même le risque de repartir sur les pistes.
Bien m’en a pris mes intestins se sont calmé: toute les fois que nous avons sillonné la savane nous avons cherché le roi des animaux sans en avoir vu la crinière. Après que nous ayons été voir des crocodiles dans un lac, un garde s’approche de notre bus et après un cours conciliabule avec notre chauffeur guide nous apprenons qu’un groupe de lionne en chasse à été vu a quelques centaines de mètres d’ici.
Branle bas de combat, tous en voiture et nous fonçons dans la direction indiquée.
Et un fois sur place six magnifiques lionnes en file indienne déambulent lentement a une centaine de mètre de la piste. Nos chauffeurs trouvent que l’on est trop loin et transgressent le règlement des réserves en roulant hors piste et s’approche à vingt mètres des félins. Les appareils photos crépitent à qui mieux mieux sans que cela ne dérange le moins du monde ces dames. Qui continuent leur petit bonhomme de chemin.
Grande joie chez les chauffeurs qui nous expliquent que pour eux c’est une compétition. C’est à celui qui sera le premier à faire découvrir des lions à ses passagers.
En rentrant au lodge pour le déjeuner, celui ci fut tumultueux car trois bus n’ont pas eu le plaisir de voir les lionnes car trop loin.
En effet notre groupe comportait sept mini bus et lors des sorties chacun allait de son côté pour éviter que cet afflue de véhicules stresse les animaux.

Après déjeuner nous prenons le temps de contempler une dernière fois ce magnifique paysage pour en garder le souvenir, car il n’est pas certain que nous puissions le revoir.
Départ pour Monbasa et le chauffeur nous fait, une dernière fois, faire le tour de la réserve en rallongeant sa route, puis ce fut le bitume (enfin dira mon dos) et la ville où nous arrivons vers seize heure trente.
L’hôtel Whitesands nous accueil au bord de l’Océan Indien: super quatre étoiles.
Grand et s’agrandissant encore il compte 340 chambres.
On nous donne les clés de nos chambres respectives et cette fois j’ai un invité.
C’est un garçon que je connais bien et donc pas de soucis.
Du balcon j’ai une vue imprenable sur l’océan et les cocotiers
Après avoir fait un petit tour de l’ensemble hôtelier, nous sommes invité à nous rassembler dans l’un des bars pour un spitche de notre grand patron qui est venu nous rejoindre. Apéritif de bienvenu puis dîner plus que correcte.
Seul je fais une ballade sur la plage avant de me couché.
La chambre qui nous a été attribuée se trouve dans la partie la plus ressente de l’hôtel et la clim n’y a pas encore été installée et il fait chaud, très chaud même, on pourrai se croire dans un sauna. Les pistes et les lodges sont sur le plateau à environ onze cent mètres d’altitude ou il y fait une chaleur très supportable, mais là… ! Alors c’est avec un ventilateur que nous essayons de nous rafraîchir mon copain et moi.
Nous laissons la fenêtre ouverte et allons nous coucher sous nos moustiquaire respectives.

Jeudi 14 mai 1987

Nous sommes réveillé par le bruit des ouvriers et surtout d’une pluie tropicale qui tambourine sur les feuilles des palmiers proches.
L’organisateur a programmé une visite de Monbasa mais je ne suis pas intéressé.
Car je me dis qu’après ces derniers jours qui ont été malgré tout a assez éprouvant
par tous ces kilomètres de piste pas très carrossables, un peu de repos serai le bienvenu.
Je me suis contenté de faire des photos du site, du farniente à la plage et quelques brasses dans la piscine où j’essaie de m’améliorer, car je n’ai appris à nager que pendant ce voyage avec un copain ancien maitre nageur et tout çà sous un beau ciel redevenu bleu.
Une petite brise marine amène un peu de fraîcheur mais malgré tout il fait une chaleur moite. Je bois beaucoup d’eau en bouteille bien fermée et elle n’est pas bon marcher dans ce pays, mais vaut mieux çà que d’être malade.
D’ailleurs l’un des participant s’en souviendra d’avoir voulu un pastis avec glaçons.
Il avait bien pris une bouteille fermée, mais avait oublié que les glaçons venaient du robinet eux. Les toilettes ont vu souvent sa visite.

L’hôtel comporte trois restaurent, j’en choisi un au hasard et même si c’est un peu à l’anglaise, c’est assez bon.
Pour le repas du soir j’avais repéré le midi un autochtone qui faisait griller des demi langouste sur un barbecue, aussi le soir je m’en suis offerte une et le midi suivant aussi; pour soixante francs ce n’était pas la mer à boire.
La veillée c’est faite autour d’un verre tout en jouant au tarot jusqu’à minuit, heure à laquelle je suis allé me couché.

Vendredi 15 mai 1987

Ce matin je me suis levé vers sept heure. La nuit a encore été étouffante et de nouveau il pleut alors que le soleil brille et cet atmosphère donne l’impression d’être dans une forêt tropicale.
Après le petit déjeuner, piscine jusqu’à onze heure trente. D’après mon instructeur je débrouille beaucoup mieux.
Après une bonne douche, déjeuner sur la plage d’une langouste grillée: hummm.
Petite sieste sur un transat et vers dix sept heure, en raison de la chaleur, de nouveau piscine.
A dix huit heure trente rassemblement dans le grand hall de l’hotel pour partir dans un restaurent au nord de Monbasa à l’occasion d’un diner de gala offert par le PDG.
Au début de la soirée, pendant l’apéritif, le PDG fait la remise des «Star Club» aux meilleurs commerciaux: j’ai celui en argent.
Le diner à la française se compose d’un potage à la langouste, d’huitres farcis, de deux demi langouste au poivre vert et d’une glace aux fruits, le tout arrosé d’un blanc de blanc bien frais. Un bon café et un cognac termine ce super repas.
Un orchestre de musiciens aveugles nous a accompagné pendant que nous festoyons et la soirée c’est terminée sur quelques pas de danse. Une navette de minibus avait été prévue, ce qui permettait de partir quand on voulait : je suis renté vers une heure du matin. Vers quatre heure je me suis réveillé et ainsi que mes intestins. Dehors il pleut très fort. J’arrive à me rendormir en priant que mes soucis ne soient que passager. A mon réveille je suis contant de constaté que mes soucis sont fini, mais je prends tout de même une gélule au cas où.

Samedi 16 mai 1987

Aujourd’hui est le jour du départ et nous avons du rendre les chambres, sauf quelques unes pour entre autres y déposer les bagages, le décollage est prévu pour deux heure du matin. Donc mon sac rempli je le dépose à l’endroit convenu et descends au restaurent pour le petit déjeuner. Pas question d’aller nager car plus de possibilité de se changer et avec l’humidité ambiante rien ne sècherai.
Donc ballade sur la plage où des kényans proposent toutes sortes de choses à vendre ou à échanger. J’échange mon vieux tee shirt publicitaire pour un jeu d’échec en pierre assez joli.
Allongé sur un transat je fais défiler toutes les images de ce voyage au pays de ces magnifique animaux auquel je n’aurai pu rêver.

Le Voyage de retour

Vingt deux heure embarquement dans les cars et direction l’aéroport. Après le passage aux douanes (très sévères) nous nous installons dans le hall d’attente l’avion ne devant partir que vers une heure trente.
Annonce dans les hauts parleurs «Le vol Kq124 aura une heure et demi de retard», vu qu’il est onze heure trente nous voilà parti pour une attente de trois heures et demi. Près de cent cinquante personnes, tous Français, commencent à rouspéter ferme.C’est aussi çà l’Afrique. Un avion en provenance de Nairobi atterri à trois heure quinze. Le temps de faire les révisions techniques nous n’embarquons qu’à quatre heure. Il pleut à seau et il n’y a qu’un car pour amener les voyageurs jusqu’à la passerelle d’embarquement, trois voyage lui fut nécessaire. Enfin à quatre heure quarante l’avion roule sur la piste et à quatre heure cinquante prend l’air. A peine le temps d’enlever ma ceinture et je m’endors. A cinq heure quinze l’hôtesse me réveille pour le petit déjeuner. Je décline l’invitation et réussi à me rendormir ne me réveillant qu’à sept heure trente. A huit heure nouveau petit déjeuner et là j’ai faim et ne décline pas. Le reste du voyage c’est passé en discutant avec mes compagnons de voyages qui tous étaient ravis de ce périple malgré l’avatar de l’aéroport.
Douze heure quinze atterrissage à Orly; passage de la douane ultra rapide, pas comme au Kénya où il a fallu une heure, sortie un au revoir aux copains et je retrouve ma femme qui m’a attendu malgré tout ce retard.

  Bonus

Ce voyage m’a laissé tellement de bons souvenirs et ayant très envie que ma femme puisse un jour connaître ce pays, que nous avons fait le voyage six ans plus tard en solo, mais cette fois nous avons visité en plus le Masaî Mara, vu plus de lions et aussi des guépards….. Mais c’est une toute autre histoire
Aujourd’hui, près de quarante ans plus tard ces souvenirs restent toujours dans ma mémoire c’est un tellement beau pays et surtout les animaux en liberté quel bonheur.
A,Grandmontagne . Aout 2022

animateur

Pour illustrer ce voyage:

https://we.tl/t-FU0WonfezS

Adminiistrateur

Voilà je viens de lire l'histoire, je vais voir les images ! Voyage 103991

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puisque ça ne ressemble à rien, ça ressemble à tout (Dan)
Il y a en photographie, comme partout, des gens qui savent voir et d'autres qui ne savent pas regarder

Adminiistrateur

Bravo Alain,
Pour que tous ces détails soient encore présents dans ta mémoire, c'est la preuve qu'il a dû y avoir beaucoup d'émotions de ta part à voir ce réaliser ce rêve.
J'ai lu le texte d'une traite sans me rendre compte s'il était long ou pas.
Je pense que tu as dû aussi prendre beaucoup de plaisir à revivre ces instants en l'écrivant aujourd'hui. Je crois que l'évasion de celui qui écrit est encore plus forte que celle de celui qui lit.

Un grand merci pour ce beau partage

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"Il vaut mieux être assis que debout et vermouth cassis." Pierre Dac

Adminiistrateur

Du bonheur, avec en filigrane ce texte magnifique raconté merveilleusement bien Merci

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puisque ça ne ressemble à rien, ça ressemble à tout (Dan)
Il y a en photographie, comme partout, des gens qui savent voir et d'autres qui ne savent pas regarder

Adminiistrateur

alamontagne a écrit:: Pour illustrer ce voyage:

https://we.tl/t-FU0WonfezS

Beaucoup de bonheur aussi à revoir ce montage.
J'aime beaucoup le parti-pris d'exposer sur les images le ressenti de celui qui découvre, c'est beaucoup plus prenant que n'importe quel inventaire de la faune....
Dès les premières mesures de la magnifique musique, le ton est donné : on est là pour admirer. Pas de problème, les images nous donnent ce qu'il faut.
Voyage 2545945474

Alain.

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"Il vaut mieux être assis que debout et vermouth cassis." Pierre Dac

animateur

MERCI à VOUS DEUX.
Je sais que j'ai beaucoup de mémoire
mais mon petit carnet qui ne me quitte pas pendant mes voyages
m'a beaucoup aidé.
La prochaine fois je vous conterais 1000 ans avant J-C

Invité

Je viens de terminer la lecture de ton récit passionnant. Je ne peux cependant accéder aux images, mais tu décris si bien tes émotions qu'on peut facilement t'accompagner.

animateur

Jean a écrit:: Je viens de terminer la lecture de ton récit passionnant. Je ne peux cependant accéder aux images, mais tu décris si bien tes émotions qu'on peut facilement t'accompagner.

Nous servant de wetransfer pour les gros fichiers
il est normal que tu ne puisses voir les photos accompagnant
ce voyage.
Aussi je te joint ici le lien qui te permet de télécharger ces photos
c'est un diaporama.
https://we.tl/t-QC7HNf45mh

Invité

Merci, c'est gentil.Je regarde ce que ça peut m'apporter en plus pour les fichiers lourds. Laughing

animateur

Jean a écrit:: Merci, c'est gentil.Je regarde ce que ça peut m'apporter en plus pour les fichiers lourds.

J'ai oublié de te dire: en 1987 le numérique on ne connaissait pas
donc toutes les photos de cet audio/visuel sont des scans de diapositives
soit Kodachrome 64 (le plus souvent) ou Ektachrome 100.

Invité

Je viens de terminer la vision de ce superbe reportage. Je me suis régalé. Merci Alain. Voyage 2545945474

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